A travers les yeux d’un rappeur, on découvre en quoi le hip-hop est bien plus qu’une danse ou une musique, mais bien une culture avec son histoire, ses penseurs, ses valeurs. Nous sommes donc dans un témoignage chorégraphié sur l’esthétique des débuts du rap, ses origines, sa créativité et son évolution.

Through the eyes of a rapper, we discover that hip-hop is more than dance or music, but a culture with its history, its thinkers, its values. So, we are in a choreographed testimony about the aesthetics of the beggining of the rap, its origins, its creativity and its development..


Loin de donner des réponses scellées, « les Enfants perdus » propose un éclairage singulier sur une culture et des pratiques qui aujourd’hui sont mondiales, nous permet de remonter le temps et de redécouvrir le rap, la danse hip hop, le graff, le djiing et le beat box sous un éclairage scénarisé pour un spectacle à caractère pédagogique.

FRANCECULTURE, novembre 2008

Mise en scène: D’ de Kabal et Farid Berki
Texte : D’ de Kabal
Chorégraphie : Farid Berki
Interprètes : Karim Ammour, D’ de Kabal, DJ Fab, Olivier Lefrançois, Johnny Martinage

Coproductions : R.I.P.O.S.T.E. – Compagnie Melting Spot, /Centre musical FGO – Barbara, Conseil Général de Seine-Saint-Denis, Maison Folie Wazemmes de Lille.

Durée : 60 minutes